Archives mensuelles : novembre 2011

Poetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène, TNB, Rennes

Poetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à RennesPoetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à RennesPoetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à RennesPoetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à RennesPoetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à RennesPoetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à RennesPoetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à RennesPoetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à Rennes

Poetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011 par Caroline Ablain Photographe à Rennes

Poetry / Maud Le Pladec / Festival Mettre en scène 2011

Après le mystérieux Professor, Maud Le Pladec poursuit son exploration chorégraphique de la musique de Fausto Romitelli. L’expressivité de cette œuvre hybride, tramée d’harmoniques spectrales et de riffs sauvages en fait un laboratoire propice aux expérimentations. Pour le deuxième volet de son diptyque, elle a branché sa danse sur Trash TV Trance – bijou convulsif pour guitare électrique. (lire la suite de l’article de Gilles Amalvi: https://www.ccn-orleans.com/centre-choregraphique-national-dorleans/maud-le-pladec/poetry)

A la racine / Marine Bachelot / Festival Mettre en scène, TNB, Rennes

 

A la racine / Marine Bachelot / Festival Mettre en scène par Caroline Ablain Photographe à Rennes

A la racine / Marine Bachelot / Festival Mettre en scène par Caroline Ablain Photographe à Rennes

A la racine / Marine Bachelot / Festival Mettre en scène 2011

« Radical signifie simplement : saisir les choses à la racine » (Angela Davis)

À la racine, c’est la réunion improbable de cinq figures mythiques, librement réinventées et rassemblées sur le plateau, pour les plaisirs d’une fiction improbable : Angela, Sigmund, Ève, Jésus et Shérazade. Tous les cinq se retrouvent à Paris, au 21ème siècle, pour un séminaire sur le féminisme. À leur arrivée, le corps d’Ève est retrouvée inanimé, jambes écartées parmi les plantes vertes. Mais Ève ne se souvient pas, ou ne veut pas se souvenir, de ce qui s’est passé…

Avec ce spectacle, Marine Bachelot poursuit son cycle consacrés aux héritages politiques féministes et aux lectures du monde qu’ils ouvrent. JP. Thibaudat (extrait) – Pour lire le texte dans son intégralité, c’est ici: http://www.lumieredaout.net/spectacles/spectacles-de-plateau/11-spectacles/236-a-la-racine